Les MULTI-Condamnations de “pfizer”

Avis d’Idriss Aberkane

Avis Google

 

Pfizer, comme de nombreuses grandes entreprises pharmaceutiques, a fait face à diverses condamnations et règlements financiers pour des pratiques commerciales controversées et illégales. Voici un aperçu des principales condamnations et affaires judiciaires impliquant Pfizer :


 

1. Affaire Bextra (2009)

  • Montant de l’amende : 2,3 milliards de dollars
  • Détail : Pfizer a payé cette somme pour régler les accusations liées à la promotion illégale de plusieurs médicaments, dont Bextra, un anti-inflammatoire. Ce montant comprenait une amende pénale de 1,3 milliard de dollars, la plus grande amende pénale de l’époque pour une société américaine, et 1 milliard de dollars pour régler les accusations civiles.
  • Violation : Promotion de Bextra pour des usages non approuvés par la FDA.
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2. Accord de règlement pour le Neurontin (2004)

  • Montant de l’amende : 430 millions de dollars
  • Détail : Pfizer a réglé des accusations selon lesquelles elle avait promu Neurontin, un médicament contre l’épilepsie, pour des utilisations non approuvées.
  • Violation : Promotion de Neurontin pour des traitements non approuvés par la FDA, tels que les migraines, les douleurs et les troubles bipolaires.
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3. Affaire Chantix (2013)

  • Montant de l’amende : 273 millions de dollars
  • Détail : Pfizer a payé pour régler des poursuites alléguant que Chantix, un médicament pour arrêter de fumer, avait causé des problèmes psychiatriques et cardiaques graves.
  • Violation : Manque d’avertissements adéquats sur les risques potentiels de Chantix.
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4. Litiges sur le Zoloft (2014)

  • Détail : Pfizer a fait face à des poursuites concernant son antidépresseur Zoloft, accusé de provoquer des malformations congénitales lorsqu’il est pris pendant la grossesse. Certains litiges ont été réglés à “l’amiable” de manière confidentielle. 
  • Violation : Allégations de manque d’avertissements adéquats concernant les risques associés à la prise de Zoloft pendant la grossesse.
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5. Accord de règlement pour les pratiques de corruption à l’étranger (2012)

  • Montant de l’amende : 60 millions de dollars
  • Détail : Pfizer a réglé des accusations en vertu de la loi sur les pratiques de corruption à l’étranger (FCPA), concernant des pots-de-vin versés à des médecins et des responsables gouvernementaux dans plusieurs pays.
  • Violation : Accusations de corruption pour obtenir des affaires et des approbations pour ses produits.
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6. Affaire Celebrex et Bextra (2016)

  • Montant de l’amende : 486 millions de dollars
  • Détail : Pfizer a payé pour régler des allégations selon lesquelles elle aurait trompé les investisseurs sur les risques cardiovasculaires associés à ses médicaments anti-inflammatoires Celebrex et Bextra.
  • Violation : Dissimuler des données défavorables sur la sécurité des médicaments et promouvoir de manière trompeuse leurs bénéfices.
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7. Litiges sur le Lipitor (2012-2016)

  • Détail : Pfizer a fait face à de nombreuses poursuites affirmant que son médicament Lipitor, utilisé pour abaisser le cholestérol, causait des diabètes de type 2 chez les utilisateurs. Certains de ces litiges ont été
  • réglés à “l’amiable” de manière confidentielle. .
  • Violation : Manque d’avertissements adéquats sur les risques de développer un diabète avec l’utilisation de Lipitor.
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Conclusion

Les affaires judiciaires et les condamnations auxquelles Pfizer a été confrontée montrent l’importance de la conformité réglementaire et de l’éthique dans l’industrie pharmaceutique. Malgré ces problèmes, Pfizer reste un acteur majeur dans le développement et la commercialisation de médicaments et de vaccins à l’échelle mondiale. Les régulateurs continuent de surveiller de près les pratiques des entreprises pharmaceutiques pour protéger les patients et garantir que les médicaments sont commercialisés de manière sûre et éthique.

Je vous partage donc les travaux de Pierre Bernarias, une personne que j’ai rencontrée au “Café des Libertés”, et qui nous a montré l’étendue de ses recherches et connexions.

Ces travaux ont été censurés bien qu’ils partagent l’avis de spécialistes de la santé, des personnes qui n’ont aucun conflit d’intérêt qui décrivent simplement leurs interrogations et questionnements sur cette obligation vaccinale alors que le produit n’etait encore pas validé, ne serait-ce que sur les effets secondaires.

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